Pourquoi n'avons-nous pas encore atteint la paix au monde?
Qu'est-ce que cela nécessiterait?
A quoi devrions-nous y attendre?

2006/07/17

Eh bien, commençons !

Je n’ai aucune idée quant au restant de vous…vraiment aucune.

Selon moi, j’ai dû prendre un mauvais tournant à l’occasion de ma dernière réincarnation et suis tombé sur cette planète minable et de mauvais arôme. Cinq milles ans de « Tu ne tueras pas » et la tuerie est la denrée d’exportation la plus prisée. Deux milles ans d’ « aime ton voisin comme toi-même » et chaque matin, la haine fait gros titre et nouveauté procurant des votes. Quinze cent ans d’ « aide toujours un musulman semblable et ne lui fait jamais tord » et Bagdad, Irak. On aurait pu croire que quelqu’un aurait déjà pigé un peu mieux.

Ou j’ai commis une faute impardonnable durant mes vies antérieures et voici où mon mauvais karma m’a précipité ; sinon me suis-je offert comme sot en volontaire afin de parachuter dans ce palais de suicidaires pour quelque mission impossible ; sinon les deux. De toute façon, des coups de pieds au cul qui se perdent !

En tenant compte du tout pour le tout, les être humains semblent assez OK pris comme individus. Partout ou j’ai séjourné sur cette planète (et je m’en suis tapé quelques chemins) ceux qui voulaient aider les autres et en être aidés ont surpassé en nombre les restants par des centaines contre un. Nous semblons simplement avoir autorisé au pouvoir chacune de ces crapules d’une sur cent sur cette planète afin de nous zigouiller, nous crétiniser et tout ruiner parfaitement en règle.

Moi, je cherche des options. Des solutions holistiques et non celles réductives et de petite envergure. Celles globales au lieu, celles géantes : de tente de cirque à triples anneaux. L’énorme arbre baobab du monde en paix, sous l’ombre rafraîchissant duquel nous pourrions tranquillement discuter la gérance du monde en paix, abrités de l’éblouissement des rayons gamma de la folie officielle que réclame la terre en armes.

À moi tout seul, j’ai intrigué notre cavale de la terre en armes. Ne m’interrompant que de temps en temps pour caqueter et murmurer comme un aliéné, j’ai soigneusement dressé la carte des points de faiblesse de la terre en armes. A présent, tout ce dont j’ai besoin, c’est un nombre massif de troupes de choc paisibles afin de sonder ces points faibles, découvrir là ou ses gardiens ont vraiment disparu et sortir en foule à travers les fentes qui criblent les créneaux semblant massifs de la terre en armes, au-delà jusqu'au au monde en paix.

Je cherche des APPRENTIS semblables, des expatriés du monde en paix, expiant comme moi leur peine sur cette terre en armes. Vous avez été durs à trouver jusqu’ici, éparpillés comme vous êtes ci et là à travers l’attroupement bovin de l’humanité qui rumine plus ou moins satisfait en attendant l'arrivé du boucher.

Mes apprentis n’ont aucune cohésion : ce sont des credophobes. Grâce aux idéologies gangreneuses selon lesquels ils furent élevés, ils ne peuvent se permettre de croire en n’importe quoi sauf des petites combines réductives que leur entraînement scientifique leur apprit furent acceptables.

Je te défi d’examiner mes découvertes et d’admettre QUELQUE CHOSE de nouveau, à part les minauderies de primate meurtrier desquelles tu fus enseigné comme gosse…

http://peaceworld.freeservers.com/020TABLEOFCONTENTSfr.htm

Va regarder pour toi-même. Voici tout ce que je te demande. Puis rends-m’en des nouvelles si tu te soucis de n’importe quoi d’important.

8 Comments:

Blogger mark mulligan said...

Ça, c’est à toi décider… Mais je sens que ça commence mal. Si tu me trouves rébarbatif, va t’en tout simplement. J’e l’ai déjà oui dire, d'autant peu constructifs.

vendredi, septembre 01, 2006 5:33:00 AM

 
Blogger mark mulligan said...

« Apprentis que j’impatientais, voici ce que vous attendiez si impatiemment. »

Voici maintenant vingt ans que je mets APPRENTIS au point, puis les derniers cinq que j’essaye de traduire ce sacré bouquin en mon mauvais français.

Mes excuses de t’avoir rudoyé. Le long des années, j’ai pris l’habitude de n’être pris au sérieux par les autres, malgré mon sérieux de mort. A présent, je réagis de rage comme ça par reflex.

Bienvenu a toi et a tes compagnons. Je tacherai d’être un peu moins mesquin à la prochaine opportunité...

dimanche, septembre 03, 2006 1:57:00 PM

 
Blogger mark mulligan said...

Moi, je suis froussard frileux, puis avare cosmique. Des millions d’or accumulés à coups de mitraillette, ceux-là me sont entièrement inadmissibles. Ma richesse doit être à l’épreuve de toute émeute humaine. Je préférerais être gueux au monde en paix, que millionnaire sur la terre en armes. Tous les enfants, eux aussi. Voici mon emplacement idéologique. Quant à ta question, je me permets de te diriger en haut de mes écrits. Tu me les as inspirés ; je t’en suis gré.

lundi, septembre 04, 2006 4:14:00 PM

 
Blogger mark mulligan said...

Mon isolation est preuve de la validité de mes propos. Tout ce dont j’ai peur, c’est de les invalider en m’appuyant sur les médiocres actuels et leur médiocrité populaire afin d’atteindre cette popularité médiocre. Les bons penseurs de l’histoire ont ceci un commun : ils furent hais, ignorés et chassés du discours public durant leur vie. Aujourd’hui, il y a des progressistes et des pacifistes en grand nombres : autant incapables de réaliser ce qu’ils se disent désirer. Moi et mes idées, nous pouvons les réaliser en annulant les leurs. Pour cela, ils ne me pardonneront ni ne m’accepteront jamais de ma vie. Leurs remplacants peut-etre. Tant pis.

Quand à mon nom : aucune échéance, si je déchiffre de quoi tu parles. C’est mon nom et voilà tout.

jeudi, septembre 07, 2006 5:38:00 AM

 
Blogger mark mulligan said...

A bientôt, mon brave ami. Et souhaitons trouver des philosophes pairs en nombres et qualités incomparables. Je me ronge l’esprit en leur attendant.

samedi, septembre 23, 2006 12:46:00 PM

 
Anonymous Anonyme said...

1) Pourquoi des philosophes pairs ?

2) Un APPRENTIS pour millle ?
Quelle role pour des APPRENTIS suiveurs ?

3) Une fois la paix atteinte peut-on la conserver?
Ou comme le vent elle ne fait que passer?
N'est-ce pas juste un mouvement cyclique?
Comme ces petits moments de bonheur intenses qui jalonnent
parfois la vie entre deux moments de non-bonheur?
Tente de l'attraper ou de le conserver 'pfuiiit' deja parti.
N'est-ce pas seulement l'effort fait pour tenter de la trouver
qui compte plutot que de l'atteindre. Nous en sommes si loin.

4) Ne suis-je pas sous l'influence de ce mouvement new age
qui vend a qui veut l'entendre une promesse de redemption
spirituelle pour qui cherche a se convertir en attendant les evenements tu sais ce fameux 2012 dont tout le monde parle tant
Suis-je sincere dans ma recherche ou suis-je une fois de plus
pris dans cette mecanique de terreur.
J'aime ce passage de la bible ou les apotres affoles par la tempete redoute que le vent ne renverse la barque alors que
Jesus les accompagne.Je suis comme eux
Tant de choses a faire
Tant de choses a changer
Tant de gens a "convaincre"
Tant de colere
Tant de peur
Si peu de courrage
Si peu de foi
Si terriblemt humain.

A bientot l'ami.

SLP

lundi, octobre 16, 2006 4:55:00 PM

 
Blogger mark mulligan said...

Nous, l’humanité – dont chacun forme une partie minuscule et autant faiblement transformatrice, soit la conviction – naviguons la réalité actuelle malgré ce brouillard de la mentalité d’armes de notre propre agencement. Pas en tant qu’individus, mais faisant partie de la communauté dans laquelle nous sommes nés, qui ne peut voir plus clair que sa majorité embrumée. Il s’agirait de nous éclaircir la vision, non catégoriquement en particulier puis réaliser le spectaculaire (comme nous avons été appris) mais peu à peu et en commun. Cela exigerait qu’une minorité, insatisfaite de la vision courante, s’en enseigne une meilleure, puis la raffine à travers leur communauté et avec sa contribution croissante, avec de plus en plus de volubilité, l’entraînant graduellement à voir plus clair. Je ne parle jamais d’une révélation particulière et momentané (sauf peut-être afin de nous sauver l’âme particulière et d’être encouragé dans la réalisation de ce qui suit) mais de transformations collectives et progressives. Transformations, du reste, en voie de développement spontané, que nous ne ferions qu’accélérer. Je ne parle pas d’une transition fulgurante, du fautif au parfait, mais d’un détournement croissant vers un but préférable. Soyons raisonnables quant à ce que nous pourrions accomplir en particulier. Admettons que cet accomplissement semblerait nul, comparé à ce que six millions d’apprentis mis au point et bien ralliés pourraient accomplir en commun. Tout doucement, tout d’abord : aucune nécessité d’épiphanie solitaire, de résultats immédiatement transcendants, ni d’actions fulgurantes et hâtives. La force transformatrice en proportion directe des assistants au courrant : mes philosophes pairs. Voici de quoi je parle.

mardi, octobre 17, 2006 8:01:00 PM

 
Blogger mark mulligan said...

Mon pauvre Samuel bien brave,

Ta SILENCE RADIO, je l’appelle la stupidité rituelle (dans mon chapitre du même titre).

Nous sommes des pionniers à pénétrer à travers ce champ de mines, tout en étant abasourdis. Ne t’attends plus à ce que les autres n’en soient autant attentifs : ils ont été inculqués, comme gosses à peine capables de s’exprimer, à répudier ces propos de façon sommaire. Leur dire autrement, c’est comme de péter en public. Attends-toi à leur réaction en formule appropriée : rien de plus ni de mieux.

Pour moi de même, pas une journée ne se passe sans que les propos d’APPRENTIS ne me soient confirmés dans les actualités : ces confirmations m’étant autant désolantes que catégoriques. Ce que je propose est vrai parce que confirmé en pronostique, de manière tout a fait scientifique. Soit, la vérité débordera inévitablement dans son propre temps. Ce que nous devons faire entre-temps, c’est nous regrouper : les apprentis qui auront compris. Si tu réussis à trouver un ou deux en supplément, puis eux de meme, vous aurez fait bonne besogne. Moi-même n’en ai été plus capable. Nous sommes au début d’un regroupement politique à l’exponentielle : ne t’attends pas au sursaut en nombres dans l’immédiat. Quoique la croissance exponentielle peut être foudroyante, dans certains cas…

Le livre MAITRES que tu me proposes, je l’ai essayé dans la troisième Section d’APPRENTIS : Quels Résultats Attendre. Ce que j’aurais dû faire, c’est écrire un roman de science fiction, autant valable que Micromégas de Voltaire ou Les Dépossédés d’Ursula le Guin, tenant à décrire la vie au monde en paix du point de vue de quelques héros littéraires sympas, sinon comme dans Don Quichotte, traitant de la science fiction comme Cervantès traitait des romans de chevalerie. Hélas, romancier, ne le suis. Le conflit surchauffé et étiré sans fin, obligatoire dans un roman, me rend la nausée. Je n’entreprends que ce je puis, de toutes mes forces. Qu’on ne s’attende pas à ce je ne fasse de supplementaire. À quelqu’un d’autre, peut-être, un de ces jours.

Me faire publier, je ne demanderai pas mieux. Combien j’ai entrepris de démarches à ce but ! Mais même les périodiques soi-disant « progressistes » m’ont claqué la porte au nez et personne parmi les grands responsables ne m’a pris au sérieux. Ils sont tous paumés à l’exponentielle. Du moins, jusqu’à présent. Je continue à espérer de l’avenir. Mes projections astrologiques me proposent que ce Décembre et cette année à venir, seront de plus en plus fortement dévoués aux entretiens internationaux, autant en messageries qu’en forme matérielle. Ne vaille que vaille. Je suis prêt.

Et puis, je me mets toujours en panique devant deux idées. La première : la renommée publicitaire dont mes faiblesses particulières me feraient certainement mal manier. Je préférerai donc qu’APPRENTIS n’explose sur la scène qu’après que j’aurai disparu ; me permettant d’ainsi soustraire mes propres lacunes, un peu comme Marx. La deuxième, c’est que tant d’idéaux politiques ne soient advenus qu’afin de qualifier les gens à s’entre-tuer de manière plus commode. Comme cela me déchirerait le cœur, de voir APPRENTIS mal interprété de cette manière ! Je préférerai ne pas être là.

Nous voici donc à cette étape de l’épreuve. Du courage ! Nous n’attendons que la réalisation d’une série infinie de miracles incroyables. Pourtant, la vie, ce n’est que cela et rien de moins. Prêtons donc attention adéquate, faisons de notre mieux, et attendons-nous au déroulement de miracles inespérés.

Moi aussi, j’aimerai bien m’entretenir face à face avec toi. Encore une autre coïncidence miraculeuse à espérer ! Notre avantage principal, c’est que nous retenons cet espoir inouï du monde en paix, tandis que les restants n’en ont aucun, d’aucune validité. Comptons nos grâces et soyons-en reconnaissants !

Quant à ceux qui vivent auprès de moi, je leur protége l’esprit en leur isolant de mes pensées les plus prisées, de façon draconienne. Ce serment de silence m’est d’autant plus pénible puisque je dois radoter de façon volumineuse des bêtises admissibles pendant toute la journée ! L’on me paye et l’on m’aime pour ça, non pas de ce qui m’obsède. Soit, j’écris et réécris et me console de ces grattages solitaires. Puis suis-je doté d’un robuste sens de l’humour (si un peu trop en noir) dont je leur fais part quant aux trivialités journalières qui nous fourmillent tout autour. Mes intimes et coéquipiers savent de quoi je pense, mais nous n’en parlons jamais. Je me suis habitué à cet étouffement universel d’esprit. Du monde qui m’entretiendrait à ces sujets de façon honnête, spontanée et créative, j’ai peur que je n’en saurai qu’abuser. Du moins, voici en quoi je me console, de leur absence catégorique dans ma vie.

Puis tout en proportion suis-je reconnaissant de tes félicitations sans prix. Un autre, du nom de Tom Porter, vient de me faire part de vœux semblables. Des miracles, quoi, m’advenant goutte à goutte. Que vous viviez bien !

En toute amitié,

learnermarkv

samedi, décembre 02, 2006 12:32:00 PM

 

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