Pourquoi n'avons-nous pas encore atteint la paix au monde?
Qu'est-ce que cela nécessiterait?
A quoi devrions-nous y attendre?

2015/01/25

Une force en faveur de la civilisation ?

L'histoire va-t-elle trouver dans l’Amérique du XXIe siècle un tyran en passe de mode, sinon une force pour la civilisation en hausse ?

Voici comment diffèrent ces deux régimes politiques, aussi bien en perspective qu’en résultats obtenus:

Une force en faveur de la civilisation est humblement fière et pragmatiquement confiante dans son pouvoir. Elle s’est enseignée les leçons de l'histoire. Elle peut se permettre de compromettre ses intérêts de conséquence tertiaire pour elle-même mais d’une importance primordiale à l'intéressé, accroître son influence et sa portée stratégique par cet apparent sacrifice. Elle ne peut être aspirée dans des alliances étrangères destructrices de ses propres intérêts en rit d'elles. Elle supprime des malfaiteurs internationaux, avec confiance que leurs remplaçants éventuels feront meilleur besogne.  Sa force s’accroît dans l’amélioration des conditions de vie de touts, et cette Règle d'or est sa position par défaut. Elle poursuit toujours la paix et la stabilité, même à ce qui semble être son propre détriment. Si ses politiques s’égarent dans de la brutalité et des représailles en gros, son service aigre et maigre de renseignement -- honnête, aiguë et diligent -- prévient sa direction qui fait attention et fait marche arrière. Elle favorise les justes, les braves et les charismatiques pour des postes de responsabilité. Elle supprime ses subordonnés psychopathes en leur fournissant des récompenses minimales en échange du minimum de dommages, et des peines maximales pour autre chose. Elle invite le discours rationnel dans la résolution de ses problèmes internes et externes, et une réelle transparence (inexprimée mais très réelle) dans les aboutissements de sa politique. Elle finance de façon quasi-extravagante l’infrastructure, l'apprentissage et de la démocratie réelle, tant en maison qu’à l'étranger; s’attendant à l’augmentation de ses récompenses par la voie d'investissement rationnel. Elle mesure son succès selon la bonne volonté recrutée par ses actions. Sa vision de l'avenir est expansive, cherchant le bien de tous, ce qu’elle publie honnêtement à son propre avantage. Ses politiques et procédures internes procèdent des plus hauts idéaux constitutionnels.  Les malfaiteurs les plus puissants, tant bien internes qu’externes, sont punis en vitesse et avec rigueur exemplaire ; très peu d’exceptions sont permises.  Elle se réserve des solutions militaires et d'autres "durs" pour ses problèmes les plus intransigeants et seulement pour eux. Elle n'a pas peur de les appliquer, simplement de la prudence acquise par une longue étude des catastrophes du passé. Elle est admirée à l'étranger, créditée de gains sociaux auxquels elle aurait pu ou ne pas avoir contribués. Chez lui, son intelligentsia est fière d’elle aussi de lui servir. Presque tout le monde se félicite de sa propension pour le bien.  Elle est sur le bon chemin au monde entier. Tranquillement fier d’elle par acclamation populaire, la Terre attend sa prochaine déclaration et décision politique.

Une force auto-destructive prône son incertitude, paniqué par sa perte de pouvoir et d'influence. Suprêmement arrogant, elle ignore les leçons de l'histoire; elle se prétend "en dehors de ses normes." Elle contrecarre des intérêts étrangers sans autre raison qu'elle se le puisse, même à son propre désavantage stratégique. Elle courtise des partenaires indifférents à ses intérêts tant que les leurs seront optimisés et devient accro  ces alliances. Elle permet aux malfaiteurs en masse leurs transgressions, de peur des ultimes conséquences de leur chute. Elle nourrit ses adversaires au point de leur pourvoir de plus en plus de puissance, sophistication et coordination en faisant souffrir leurs familles pour des raisons de plus en plus triviales. Cet ensemble de dents de dragon: "Cultiver plus d'ennemis en les blessant davantage" c’est sa position par défaut. Son service de renseignement pléthorique vise à accélérer et aggraver cette spirale au génocide. Elle semble prospérer dans la discorde et le conflit, et ne fait pas grand-chose pour les réduire, accélérant sa propre disparition éventuelle. Elle favorise des obtus et des sots pour des placements au pouvoir interne. Elle assassine ses meilleurs leaders, et place psychopathes dans des postes de responsabilité croissante, jusqu'à ce que ceux guidés par leur conscience aient été écartés de toutes les positions de responsabilité. Elle approuve du dogme, de la réaction et de l’anti-penser. Ses décisions sont masquées d’inutile mystère et de répression punitive, tout en étant déclarées « transparentes ». Elle lésine sur des besoins internes de l'infrastructure, l'apprentissage et la démocratie honnête, se nourrissant de sa propre chair et celle de ses voisins, en faveur de récompenses exponentielles pour une minorité de parasites sociaux sans créativité, conscience morale, humanité. Elle mesure ses succès en termes de dollars dépensés et accumulés par cette petite élite incestueuse. Ses politiques et procédures internes admettent de plus en plus de corruption avec sanction bureaucratique. Elle n'a aucune vision de l'avenir, simplement « le profit pour les quelque-peu au détriment de la majorité», se cachant derrière l'illusion de la «liberté» de la mauvaise gestion. Elle est souvent disposée aux solutions militaires et d'autres «durs» parce qu'elle s’est rendue trop stupide pour en tracer des meilleurs: de peur de les appliquer, incertaine de mesures mal définies appliquées prématurément et de ce qui en résulterait, et pris de panique par ses propres frayeurs. Elle ignore les leçons de l'histoire en faveur de ses retours sur l’investissement. Elle se rend en une blague de mauvais goût à l'étranger: accusée de tous les maux sociaux qu'ils soient de sa propre invention ou non. Son intelligentsia en maison se trouve sans relâche embarrassé par la cohérence de sa mauvaise administration et l'auto sa preuve réitérée de sa bêtise; évitant toute responsabilité pour elle et partenariat avec elle. Tous pourvus de sagacité sur Terre la méprise (avec bonne cause) pour une raison ou une autre. Indépendamment de sa puissance de feu et sa richesse actuelle, elle touche à sa fin et à son obscurité historique. Le plus fort que baie ses porte-parole payés au sujet de son exceptionnalisme et mérite au pouvoir, le plus médiocre et oubliable se rend-elle.