La tyrannie de la conscience morale
La tyrannie de la conscience morale
Qu’apprit chacun à son tour,
Le bien-être de la justice bien servie.
Apprise et enseignée à tour de rôle par
Justicier éphèbe et enfant victime.
De pilotage automatique à la majorité humaine
Le feu commun des nôtres.
Contrainte la plus douce puisque
Celle la plus appréciée.
En réplique volcanique
À la menace de mort psychopathe.
Amplifiée de par les médias
Le reste marginalisé en comparaison.
À chacun son pénis vol au vent
Nos femmes et enfants en bonne sécurité.
Sans grand besoin de livres ni de lois
Tout le monde le comprend d’avance.
Plairai-t-elle à Dieu ?
Sinon chute libre en tyrannie psychopathe ?
Nous octroi la durée antédiluvienne de millions d’années
Chez nous de simples primates à la AK47.
Ces psychopathes en grande partie apaisés
En silence plutôt au conseil.
Ne doivent-ils pas s’apprivoiser
Ne plus muter en frelon sans sagesse ?
Serais-ce par empathie à la vision corrigée
Que l’on verrait plus claire à travers chaque pair d’œils.
Ou pourrait-elle simplement voguer en vue
Comme à travers un brouillard levé en éclairci ?
Non par la perfection de notre empathie
Mais l’éclairci de son brouillard ?
Nous civilisant une fois pour toutes
Abritant à la fois la terre et ses enfants.
Apaiser la terre en Éden
Les cieux notre marché aux puces.
Le canot ivre cogne la coque du retour en maison
Ramena frère pêcheur marin pour revoir sa mère.
Tous portent la bonne démarche affranchie
Parlent la tête haute en toute franchise.
Qui sonne partout en même temps,
Cet impératif de la conscience morale.
Cette naissante conscience morale
À peine en éveil à présent.
D’éveille spontanée
Et de soulèvement tectonique, une fois invoquée.
De puissance druide fantôme
Le sermon au mont de Jésus.
Qu’ais-je de plus à te recommander ?
La dictée solitaire du Notre Père.
Apposes-y ta lacune morale
Qu’elle se prête de ton corps et âme.
S’y dévouer corps et âme
La survie des enfants en dépend.
De la conscience morale
Conscience tyrannie
Conscience tyrannie
Répète après moi.
Sans faiblesse ni faille
Qu’Apprentis ne sachent réparer.
En sommes-nous à nouveau préts
Ne l’ayons-nous jamais été ?
À la tarie de mes mots au service
De ma tyrannie de conscience morale.
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