Pourquoi n'avons-nous pas encore atteint la paix au monde?
Qu'est-ce que cela nécessiterait?
A quoi devrions-nous y attendre?

2006/07/17

La Vallée de Bekaa en tant que bataille de Cannae.

Bien, jouons maintenant au jeu : « Nomme ton scénario de cauchemar favori ! »

Saddam aurait belle et bien expédié en Syrie son arsenal intégral d’armes de destruction massive…comme il expédia ses avions chasseurs en Iran pour bonne garde.

Ce président de tous les détraqués, Mahmoud Admadinejad, il était d’un sérieux de mort quand il proclama que la destruction de l’Israël serait la politique officielle de l’Iran à partir de maintenant. Il se souci qu’une fois que lui et ses supporters cinglés seront remplacés par des « modérés » iraniens, leur hobby favori (exterminer l’Israël) serait flanqué par la fenêtre une fois pour toutes—voici qui se présente leur dernière opportunité !

Les terroristes de l’Hezbollah ne sont que des attrape-nigauds. Ils sont là pour tenter l’élite de l’armée Israélienne de s’enfoncer profondément dans le nord du Liban.

Une fois que ce mastodonte mécanisé sera éparpillé le long des seules routes à travers ce terrain montagneux et impassable autrement, il ne s’agira que d’immobiliser la tête et la queue de chaque colonne de route, puis remplir de neurotoxines et de peste les vallées transformées en terrains de stationnement militaire. Nul part ou courir ; nul part ou aller se cacher. Un peu comme les colonnes russes qui envahirent la Finlande durant la guerre d’hiver en 1939-40—sauf que tout le monde mourra, non seulement les tankistes attrapés sur le chaussé. Bien plus facile que de moquetter les colonnes mécanisés américaines se baladant au loin dans le désert pendant l’opération orage du désert : libres qu’elles étaient de s’enfuir dans toutes les directions à 50 KMH afin de trouver de l’air un peu plus propre.

De quoi quant aux guérillas de l’Hezbollah et leurs appuis civiles ? Eh bien, mon ami, ils peuvent devenir des martyres d’Allah ! Un billet simple gratis au Paradis pour chacun d’eux – hommes, femmes et enfants – distribués par des Imams depuis leurs bunkers douillets et creusés en profondeur.

Simultanément, des attaques massives à travers la frontière Israélienne à partir de la Syrie, de la Jordanie et de l’Egypte par leurs éléments conventionnels armés, en espérant submerger les sites de lancement et de contrôle des armes nucléaires Israéliens avant qu’ils ne puissent incruster de verre radioactive l’entièreté du Moyen Orient.

Des paris, mes amis ? Qui serait assez irresponsable pour parier sur l’humanité, la compassion et la raison par dessus cette démence religieuse ?


En faillite de mille milliards et manquant depuis trente ans

Le blog the Steven Aftergood : Secrecy News, nous rapporte que l’Armée des USA à finalement mis à jour sa doctrine de contre-insurgé trente ans après que la dernière version fut écrite après le Vietnam et trois ans après que l’Irak fut envahi.

http://www.fas.org/blog/secrecy/2006/07/army_updates_counterinsurgency.html


Te rappelles-tu la doctrine Wienberger ? Celui que Colin Powell était supposé appuyer ? N’allons en aucune guerre sans force écrasante, retenons des objectifs distincts, ayons un itinéraire d’entré et de sortie, et collectionnons l’appui multinational et multilatéral. Tu sais, toutes ces choses dont nous étions entièrement démunis en défonçant la porte de l’Irak ? Voici de quoi s’agissait la doctrine de l’armée américaine rédigée il y a trente ans. Voici qui nous aurait bien avancé les choses dorénavant comme aujourd’hui.

Je me demande combien mieux marchera cette prochaine doctrine. Peut-être en application subséquente à Boston, Chicago et Seattle ? Alors, je suppose que cette nouvelle doctrine devrait être appelée : « D’ailleurs, ne pas écraser trop d’insectes civiles tandis que nous y sommes… »

Elle fut rédigée par le général David Petraeus qui commandait la 101eme division aéroportée et le colonel Conrad Crane de l’Institut d’histoire militaire. Ils devraient être loués pour le courage moral que cela dut leur réclamer afin de promouvoir une telle doctrine malgré l’inertie mentale du restant des militaires aux U.S.A. et de leurs meneurs néo-conservateurs : des poltrons notoires dont l’opinion fut que la torture soit productrice. Ainsi que le colonel de fusiliers marins T.X. Hanes, qui inspira leur effort au moyen de son livre, La pierre et le lance-pierre (The Sling and the Stone). Je devrais trouver une copie de ce livre…

Steven cite de ce manuel en brouillon comme de suite :
« Traditionnellement, les armées ont dû désapprendre la plus grande partie de leur doctrine et réapprendre les principes du COIN en entreprenant des campagnes de COIN.
« Le contre-insurgé propose au commandant militaire un ensemble complexe et souvent peu familier de missions et de considérations.
« Parmi les paradoxes du contre-insurgé : le fait que "Le plus que vous protégerez votre force, le moins bien sécurisé serez-vous", "Le plus de force dont on se sert, la moins efficace qu’elle se rende" et "Parfois, ne rien faire, voici la meilleure réaction." »

Ne me suis-je rendu compte de ce développement qu’en lisant la version du 13 Juillet, 2006 de http://www.lemonde.fr/, site du journal Le Monde : l’équivalent du New York Times, Washington Post, Wall Street Journal et Christian Science Monitor en Amérique. Le Monde à publié un bon article de longueur adéquate concernant l’article de Secrecy News, contenant encore plus de cotations prises de ce manuel en brouillon. Je ne suis pas sur si j’aurai pu trouver davantage que quelques lignes concernant ce sujet dans tous ces journaux, puis AP, Reuters et UPI—mais je suis un optimiste délirant quant à la qualité du journalisme américain. Oublis bien vite la télé.

De toute façon… La raison pour laquelle je remets ceci sur le tapis, c’est que j’ai cuisiné ma propre version de la doctrine contre-insurgé il y a de cela au moins huit mois. Il se trouve à

http://peaceworld.freeservers.com/300WORLDMILITIAfr.htm


Tu es bienvenu d’y jeter un coup d’œil. Ma version est non seulement non classifiée et en version finale, mais aussi gratis puis bien moins traînarde.

Une fois (sinon jamais) que "Counterinsurgency," U.S. Army Field Manual 3-24 (Final Draft), June 2006 (241 pages, 2.4 MB PDF file) sera mis à jour dans sa version finale, seras-tu stupéfié combien semblables nos conclusions ont finis d’être.

Est-ce là une bonne chose? Je n’en ai aucune idée…

Qui bénéficie de Bombai ?

Je ne puis m’empêcher à penser de ses pauvres gens de Bombai comme de tous ces pauvres espagnoles et londoniens, new yorkais et kenyans, irakiens, israéliens, afghans et palestiniens. Cette confrérie/sororité de victimes de bombes, elle semble être la plus innocente, cosmopolite, œcuménique, interethnique and profondément humaine sur cette lugubre planète. C’est dommage que l’entièreté de l’humanité ne puisse se rallier autour de leur mémoire pacifique au lieu des priorités sanglantes de leurs meurtriers.

Se crépitant au boulot sur des trains matinaux : des foules super chauffées, tassées et poisseuses tentant vaillamment de rester civilisées ; chacun plein d’envi que cette première épreuve de la matinée ne puisse terminer et que la charge grise du travail quotidien ne leur en libère ; le mousson gris crépite son averse incessant sur la toiture de chaque fourgon. Le rugissement, le balancement et la moiteur, la saveur brûlée de voie ferrée posée bon marché…

Puis ce heurt stupéfiant (dont je peux ressentir le premier bisou dans le rampement de mon cuir chevelu) décapitant littéralement, vaporisant le torse supérieur de ceux les plus proches, effondrant le crâne et affaissant les épaules de ceux se tenant à mi-chemin et éclaboussant les restants de sang vaporisé et d’un shrapnel de grillage en haut et d’éclats d’os qui leur fauche tous, les pattes brisées, tous s’écroulant tandis que les trains s’arrêtent en bloc strident, mortellement atteints.

Le silence pour un instant, puis les suites hurlantes rincées du sang et de cette pluie incessante. Les hôpitaux submergés sous des morts et agonisants qui remplissent les couloirs et envoient les infirmières et infirmiers à courir pales pour davantage de matériel, tachant ne pas glisser sur les foulées sanglantes. L’agonie, le choque, le chagrin. Tous ces enfants innocents rendus instamment orphelins sans aucune faute de leur part—ils ne le croiront jamais. Horrible au delà d’imaginer.

Pourtant très coutumier ces jours-ci. Plus ou moins la répétition de Bali, de Londres, de Barcelone, de l’onze septembre, d’Irak du jour le jour—et combien de bombardements sans nombre depuis et ensuite ? Quelqu’un à t il recruté deux fois le nombre de bombardiers suicidaires de bonne volonté dans la communauté aux alentours de Bombai, que ceux aux alentours de Londres ? Sauvegardant leurs colis sacrés sur les étagères supérieures jusqu’à ce qu’ils n’en furent vaporisés de même ? N’auront pu leurs passagers analogues flairer la puanteur de leur peur, la lire dans leur comportement ? Enfin, est-ce que ces canailles de recruteurs furent payées par des aliénés de l’ISI pakistanais sinon leurs équivalents déments en Inde ?

Bombai, cette ville parmi les plus mondaines, ville principale d’une nation lasse du monde mais resurgissante, parmi les plus vieilles sur terre, terrain domiciliaire de Salman Rushdie bien reconnu de nous ses lecteurs résiduels occidentaux parce qu’il nous aurait guidé jusque là, de par là et au-delà de façon amoureuse et diverse. La ville Paris, le New York and LA de l’Inde ; que seuls les indiens pourraient accommoder en un seul endroit. Centre de cosmopolitisme et bastion chancelant de tolérance mutuelle si toutefois profondément traumatisé tout récemment.

L’unique endroit que les extrémistes des deux cotés souhaiteraient décapiter : autant littéralement que de manière figurative—comme quelques uns l’auraient réussi : qu’ils pourrissent en enfer pour toujours. Que leur enfer puisse se rendre en voyage perpétuelle en fourgon de première classe remplie de soixante-dix sept corps décapités et vierges se pressant autour d’eux et riant stridentes de leur stupidité vicieuse depuis leurs gorges pétillantes de sang.

Qui hormis des extrémistes Hindous en bénéficierait ? Certainement pas Moubarak avec ces dépenses de trois à un en faveur des militaires aux dépens de l’éducation et de la santé, son pays grouillant de canailles déguisées en bons musulmans fortifiés derrière une montagne sur deux, sa poignée de nuques qui annulent plus ou moins les glorieuses ambitions militaires de tous. Pas la grande majorité des habitants au Cachemire qui ne souhaiteraient rien de plus que tous ne s’en aillent et leur laissent tranquilles. Non pas les indiens musulmans qui doivent se sentir comme des animaux pris au piège dans leurs propres voisinages à présent.

Combien the milliers d’insultes, combien de coups furtifs et crimes malins ces deux cent morts et trois fois plus de blessés rachèteront-ils ? Combien davantage de peines et d’angoisses inciteront-ils autant innocemment que ces salauds qui ont délibérément fait sauter cette mosquée en Irak ? Je te demande encore une fois : qui bénéficie ? Seulement le BJP – duquel j’ai lu qu’il aurait plus ou moins perdu tout espoir de gagner les prochaines élections en Inde, faute de cette catastrophe – et ses partisans psychotiques, bien sur. Eux croient à tord qu’ils puissent en bénéficier, eux et leur fondamentalisme Hindou. Qu’ils étouffent de ce bénéfice…

Apres tout, n’étaient-ce pas ces fondamentalistes qui assassinèrent Gandhi, tout comme le premier ministre israélien Yitzhak Shamir, tout comme le président égyptien Sadat, tout comme chaque leader porteur de compassion, de bon sens et de charisme durant ces dernières décennies sur cette planète ; tandis que des essoreurs incompétents et corrompus de mains troquent place avec des fauteurs incompétents et corrompus de troubles, tandis que des fraudeurs corrompus mais entièrement compétents dirigent le tout à partir des arrières pièces, et un crétin quelconque peut toujours être trouvé pour abattre tout honnête homme détenant une promesse de paix—et ainsi de suite jusqu’à la nausée avec uniformité et efficacité croissantes ?

Je répète : qui en bénéficie le plus ? En bref – soit le cotée qu’ils revendiquent et soit le dieu qu’ils revendiquent mais disgracient au lieu – personne qui ne mérite le titre d’être humain.

Eh bien, commençons !

Je n’ai aucune idée quant au restant de vous…vraiment aucune.

Selon moi, j’ai dû prendre un mauvais tournant à l’occasion de ma dernière réincarnation et suis tombé sur cette planète minable et de mauvais arôme. Cinq milles ans de « Tu ne tueras pas » et la tuerie est la denrée d’exportation la plus prisée. Deux milles ans d’ « aime ton voisin comme toi-même » et chaque matin, la haine fait gros titre et nouveauté procurant des votes. Quinze cent ans d’ « aide toujours un musulman semblable et ne lui fait jamais tord » et Bagdad, Irak. On aurait pu croire que quelqu’un aurait déjà pigé un peu mieux.

Ou j’ai commis une faute impardonnable durant mes vies antérieures et voici où mon mauvais karma m’a précipité ; sinon me suis-je offert comme sot en volontaire afin de parachuter dans ce palais de suicidaires pour quelque mission impossible ; sinon les deux. De toute façon, des coups de pieds au cul qui se perdent !

En tenant compte du tout pour le tout, les être humains semblent assez OK pris comme individus. Partout ou j’ai séjourné sur cette planète (et je m’en suis tapé quelques chemins) ceux qui voulaient aider les autres et en être aidés ont surpassé en nombre les restants par des centaines contre un. Nous semblons simplement avoir autorisé au pouvoir chacune de ces crapules d’une sur cent sur cette planète afin de nous zigouiller, nous crétiniser et tout ruiner parfaitement en règle.

Moi, je cherche des options. Des solutions holistiques et non celles réductives et de petite envergure. Celles globales au lieu, celles géantes : de tente de cirque à triples anneaux. L’énorme arbre baobab du monde en paix, sous l’ombre rafraîchissant duquel nous pourrions tranquillement discuter la gérance du monde en paix, abrités de l’éblouissement des rayons gamma de la folie officielle que réclame la terre en armes.

À moi tout seul, j’ai intrigué notre cavale de la terre en armes. Ne m’interrompant que de temps en temps pour caqueter et murmurer comme un aliéné, j’ai soigneusement dressé la carte des points de faiblesse de la terre en armes. A présent, tout ce dont j’ai besoin, c’est un nombre massif de troupes de choc paisibles afin de sonder ces points faibles, découvrir là ou ses gardiens ont vraiment disparu et sortir en foule à travers les fentes qui criblent les créneaux semblant massifs de la terre en armes, au-delà jusqu'au au monde en paix.

Je cherche des APPRENTIS semblables, des expatriés du monde en paix, expiant comme moi leur peine sur cette terre en armes. Vous avez été durs à trouver jusqu’ici, éparpillés comme vous êtes ci et là à travers l’attroupement bovin de l’humanité qui rumine plus ou moins satisfait en attendant l'arrivé du boucher.

Mes apprentis n’ont aucune cohésion : ce sont des credophobes. Grâce aux idéologies gangreneuses selon lesquels ils furent élevés, ils ne peuvent se permettre de croire en n’importe quoi sauf des petites combines réductives que leur entraînement scientifique leur apprit furent acceptables.

Je te défi d’examiner mes découvertes et d’admettre QUELQUE CHOSE de nouveau, à part les minauderies de primate meurtrier desquelles tu fus enseigné comme gosse…

http://peaceworld.freeservers.com/020TABLEOFCONTENTSfr.htm

Va regarder pour toi-même. Voici tout ce que je te demande. Puis rends-m’en des nouvelles si tu te soucis de n’importe quoi d’important.